Louisattack!

Okay,

c'était assez difficile de trouver plus naze comme accroche, mais que veux tu, mes neurones sont en mode grève depuis...

Cette semaine, je n' ai pas bossé (youhouuuuuuuuu, la fête) du coup, j' ai eu le temps de coudre pour mes nièces, tu sais, celles qui trouvent que bonbon, c'est top comme couleur. J' avais donc fais une Paris remix pour A, et puis j'étais partie pour une Louisa pour S, mais je crois que je l' ai grandie un peu trop, du coup, elle partira dans l' armoire de l'autre A (de l'interêt d'avoir des nièces, presque du même âge mais pas tout à fait).

Sur cette robe, patron Louisa de compagnie M, ô combien rentabilisé, j' ai changé les manches pour des mancherons redessinés au pifomètre à partir des manches du patron, et qui rendent très bien.

Le tissu vient de Houston, revenu dans les valises d'une autre de mes nièces.

Et comme tout se passait trop bien, quand j'ai surjeté les parementures à la toute fin, j' ai évidement été abandonnée lâchement par le dieu de la couture, donc j' ai surjeté et ma parementure et mon endroit. Qui dit surjeter, dit aussi découper, puisque je te rappelle qu'il y a un couteau sur ta surjetteuse, qui a donc fait un magnifique trou, dans le devant de ma robe, a 60s de l' arrivée...

Après avoir maudit dans l' ordre, ma connerie légendaire, ma salope de surjetteuse et le dieu couturesque qui s'était détourné de moi, j' ai bidouillé une poche (qui n'en est pas une, evidement), thermocollé mon trou, et cousu à la va-vite ma fausse poche sur mon vrai trou...